La bâtisse corrézienne qui servait de repaire au néo-nazi norvégien Kristian "Varg" Vikernes semble somnoler derrière ses lourds volets de bois hermétiquement fermés. Posée au milieu des pâturages du centre de la France, la ferme est entourée d’un petit terrain soigneusement délimité où quelques poules abandonnées à leur sort picorent ce qu’elles peuvent trouver.
a tranquillité du paysage contraste avec l’activité frénétique qui règne au commissariat central de Brives, une trentaine de kilomètres plus au sud, où les enquêteurs sont engagés dans une course contre la montre. Les policiers ont jusqu’à samedi matin pour déterminer si l’extrémiste norvégien avait effectivement des visées terroristes. La compagne française de l’extrémiste norvégien, Marie Cachet, qui avait acquis légalement plusieurs armes à feu et arrêtée avec Varg Vikernes, a elle vu sa garde à vue levée la veille dans la plus grande discrétion.
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